La Femme De Mon Ami Bachir Episode 4 : Youssouf, L’Étudiant Africain

Tout le temps que Nadir, le bel étalon beur, resta avec nous, nous vécûmes en ménage à quatre. Un quatuor qui tournait surtout autour de Nadir, qui avait encore pour Kamila, le goût de la nouveauté.
Il était le centre de gravité du groupe pour tout ce qui concernait la chose érotique. C’était lui qui entreprenait en premier notre femme et la faisait grimper aux rideaux. A chaque fois, il la faisait littéralement hurler de plaisir. Et elle en redemandait tout le temps. Elle était insatiable !
Bachir et moi – d’abord moi, Bachir ensuite – intervenions à la suite de Nadir, pour compléter le plaisir de notre belle. Elle n’était satisfaite que quand tous les trois étions sur les genoux et demandions merci ! Invariablement, nous finissions nos ébats par une séance à quatre : Nadir toujours allongé sur le dos, son monstrueux engin dressé comme un mât ; Kamila venant s’empaler sur l’engin, en bavant d’excitation ; Bachir et moi nous contentons, à tour de rôle du cul et de la bouche de la cochonne.
Je crois que de toutes les expériences érotiques, c’était celle-là que Kamila adorait le plus: tous ses trous étaient occupés et cela décuplait l’intensité de sa jouissance. Elle nous disait qu’elle appréciait particulièrement cette sensation de ses orifices - vagin et rectum – remplis par deux magnifiques sexes, qui la labouraient furieusement. La brutalité même de l’action la remplissait de bonheur. Et quand, Bachir ou moi, venions remplir son dernier orifice - sa bouche,- elle jubilait.
Et moi, j’adorais m’occuper de sa bouche. Pendant que mes deux compères pilonnaient, qui son cul, qui sa chatte, j’entreprenais la bouche de ma belle que j’utilisais comme si c’était sa chatte.
J’avais pris l’habitude de la baiser par la bouche. Je savais pertinemment qu’elle n’appréciait pas beaucoup ma manière de faire : je lui faisais toujours mal en allant chercher le fond de sa gorge avec mon engin. A plusieurs reprises elle ne put s’empêcher de vomir sur mon sexe, tant je ne prenais aucune précaution pour le lui éviter.

Je pense même qu’inconsciemment, je cherchais à lui faire mal et à la faire vomir pour imposer ma présence en face de Nadir, qui me semblait avoir pris trop de place auprès d’elle. Il me fallait marquer mon territoire ; et je n’avais pas trouvé autre chose pour le faire.
En fait, c’était Bachir – il avait gardé son rôle de metteur en scène des ébats de Kamila avec ses amants - qui m’avait fait aimer le fait de baiser sa femme par la bouche et de lui faire mal. A chaque fois, c’était lui qui donnait le top de départ et qui imprimait le tempo à nos ébats.
- Nik‘ha men foum‘ha! Nik‘ha bezzour! Wedja⠑ha! Edjbed‘ha men chaâr‘ha! (Baise-la par la bouche ! Baise-la en force ! Fais-lui mal ! Tire-lui les cheveux !)
Lui faire mal était devenu mon plaisir bestial. Et puis c’était tellement délicieux de jouir dans sa bouche et de la voir s’escrimer avec mon sperme ! Et Kamila qui savait combien j’aimais la chose y mettait du sien. Elle avait même fini par trouver le rythme idéal pour donner un maximum de plaisir à ses trois amants en même temps : elle positionnait son bassin à mi- hauteur entre Nadir et Bachir pour permettre à chacun d’eux d’aller et venir dans ses orifices et relevait la tête devant moi – je me positionnais à genoux sur le canapé ou le lit, derrière la tête de Nadir - pour me permettre d’investir sa bouche.
La bouche de Kamila était superbe ! Non seulement esthétiquement elle avait la forme d’une magnifique chatte, mais l’intérieur était aussi accueillant qu’un vagin : chaud, humide et doux.
Fait sur mesure pour ma queue qui s’y trouvait tellement bien ! Je lui faisais mal en la tirant comme une brute et elle me le faisait sentir en poussant une espèce de borborygme, qui annonçait une forte envie de vomir. De temps en temps, elle faisait un effort surhumain pour me faire lâcher prise sur ses cheveux et retirer sa tête, juste le temps de vomir, en un seul jet, sur mon manche, avant qu’elle ne l’avale de nouveau.
Et Bachir qui pâmait de plaisir dans le cul de sa femme, continuait de nous aiguillonner tous les trois en vociférant des ordres, qu’aucun de nous en fait n’écoutait, tant nous étions chacun dans les profondeurs de notre propre plaisir.
Nadir faisait monter et descendre violemment son bassin, en poussant à chaque fois un fort rugissement, montrant tout le bonheur qu’il vivait à l’intérieur du vagin chaud et visqueux de Kamila. A chacun de ses allers-retours, son manche produisait un bruit impudique de clapotis à l’intérieur du tunnel ruisselant de cyprine. Du jus s’accumulait, au fur et à mesure, sur le pubis de Nadir et allait s’étaler sur le drap du lit (ou directement sur le canapé).
Kamila , qui ne pouvait pas parler – sa bouche étant pleine de mon manche – montrait tout son plaisir en bougeant ses hanches au rythme des coups de boutoirs des deux sexes qui occupaient son vagin et son rectum. Elle avait fini par acquérir une technique bien à elle pour accroître encore plus l’intensité du plaisir qu’elle prenait, et qu’elle donnait à ses amants : elle faisait faire à ses hanches un mouvement circulaire, en même temps que ses deux hommes entraient et sortaient en cadence de ses deux trous. Elle avait ainsi l’impression que les deux sexes qui étaient en elle devenaient plus gros et lui donnaient encore plus de plaisir.
Et Bachir, lui, hurlait ses ordres tout en rugissant de plaisir. Il tenait fermement les hanches de sa femme et tirait violemment sur ses bras pour faire pénétrer son manche au plus profond de son cul. Il faisait sortir l’engin totalement à l’extérieur - en cadence avec Nadir, qui faisait la même chose – contemplait le spectacle qui s’offrait à lui pendant une fraction de seconde et réinvestissait brutalement le tunnel, en poussant un nouveau rugissement de contentement. Il prenait du plaisir non seulement avec son sexe qui était au paradis dans le cul de Kamila, mais aussi en s’écoutant crier ses ordres à ses trois partenaires. Le fait de diriger la manœuvre lui donnait autant – sinon plus - de plaisir et de béatitude, qu’en allant et venant dans le rectum de sa belle.
Il hurlait à Nadir de continuer de pilonner la chatte de Kamila :
- Zid nik marti ! Ma tehbasch ! 3âmarel‘ha hatchoun‘ha ! (Continue de baiser ma femme ! N’arrête pas ! Remplis-lui la chatte !)
Il hurlait à sa femme des mots crus, qui d’évidence accroissaient l’intensité de son plaisir :
- Qahba ! Khoudhi zoudj zboub fi hatchounek wa fi gaârek ! Zboub li yaâmroulek thqabek ! Qahba ! Goulili en-hab erdjal ! En-hab i-noukouni erdjal ! Goul ! (Pute ! Prends deux queues dans ta chatte et dans ton cul ! Des zobs qui te remplissent tes trous ! Pute ! Dis-moi : j’aime les hommes ! J’aime être baisée par des hommes ! Dis !)
Et il me hurlait à moi, toujours en arabe, de continuer de lui défoncer la gorge :
- Nik foum qahba! Nik‘ha mel foum! 3âmar‘ha bezzal ! Aâtil‘ha techrab! Ra‘hi 3âtchana! (Nique la bouche de la pute! Nique-la par la bouche ! Remplit-la de sperme ! Donne-lui à boire ! Elle a soif !)
Aucun de nous n’écoutait vraiment les ordres de Bachir ! Lui-même s’en fichait éperdument de savoir s’il était écouté et obéi ; en réalité, il ne faisait que soliloquer ; c’était plus à lui qu’il s’adressait qu’à nous autres.
Il adorait s’écouter prononcer à haute voix toutes ces paroles crues.
Surtout de traiter sa femme de qahba ! De pute ! Des paroles qui accroissaient son plaisir de la baiser et de la voir se faire baiser par d’autres hommes. En fait, il ne faisait que commenter tout haut ce qu’il ressentait. Et cela le rendait heureux.
Moi je continuais imperturbablement mon action de démolition du gosier de ma belle. Je me comportais en sadique. En vrai salaud ! Je savais que je lui faisais mal et j’adorais ! Kamila supportait vaillamment le traitement que je lui imposais. Autant elle adorait ce que lui faisaient Nadir et son mari ; autant elle ne prenait aucun plaisir à se faire défoncer la gorge par mes soins. Mais comme elle savait que moi j’adorais, elle se laissait faire. Et puis elle savait qu’à la fin du supplice, elle allait être arrosée abondamment de mon sperme. Et cela, elle avait fini par adorer et en redemander.
Je regardais avec bonheur le résultat de la défonce : elle avait les yeux qui larmoyaient abondamment; le nez qui déversait des flots de morve qui se mélangeaient à la salive, que les va-et-vient de mon sexe dans sa bouche faisaient sortir en abondance. Je regardais le liquide visqueux descendre doucement le long de son menton et aller s’étaler sur la poitrine de Nadir qui était allongé en dessous et qui ne s’occupait que de son propre plaisir, en faisant aller et venir son immense engin sur lequel Kamila s’était empalée. Son visage avait viré au cramoisi, tant elle souffrait et tant la chaleur lui était monté à la tête. Mais malgré que, visiblement, elle avait très mal, elle se laissait faire sans protester. Pour mon immense plaisir.
En fait, de nous quatre, c’était Kamila la plus altruiste. Elle voulait absolument que ses hommes fussent heureux avec elle. Elle voulait qu’ils eussent un maximum de plaisir et qu’ils jouissent intensément. Même si, elle, elle devait payer de sa personne. Et c’était bien de cela qu’il s’agissait : Kamila souffrait sous mes coups de boutoirs dans sa gorge, mais me laissait continuer pour ne pas créer en moi un sentiment de frustration.
Adorable Kamila ! Et moi je profitais honteusement de la situation ! J’adorais regarder mon manche entrer et sortir de sa bouche. Je forçais même la dose en lui faisant prendre un élan de plus en plus grand, avant de le faire pénétrer dans sa bouche grande ouverte (elle faisait très attention à bien écarter ses dents, pour que mon sexe ne soit pas blessé en se frottant sur elles) et aller jusqu’au plus profond de son gosier.
A chacune de nos expériences à quatre, celui qui prenait en charge la bouche de Kamila était toujours le premier à atteindre l’orgasme et à avoir une jouissance paroxysmique. C’était donc le plus souvent moi qui déclenchais la chaîne d’orgasmes pour tous les quatre. Et à chaque fois, c’était le même scénario : sentant l’orgasme déferler en moi, tel un torrent en crue, je tirai plus fort encore sur les cheveux de Kamila et accélérai le rythme des va-et-vient de mon gourdin dans la gorge de la belle. Au bout de quelques secondes, je poussais un râle de mourant et je sentais mon sexe éclater et lâcher une bordées de sperme visqueux et brûlant directement dans la gorge de la femme.
Et Kamila avalait goulument : elle aimait le goût, l’odeur et même la viscosité du sperme. C’était, m’avait-elle avoué quelques jours après que nous ayons fait connaissance, cela sa récompense pour toute la douleur qu’elle avait eu à supporter chaque fois. Elle s’efforçait donc d’avaler la totalité du foutre que je déversais dans sa bouche et même en dehors, en me regardant toujours avec des yeux de biche énamourée et reconnaissante.
Pendant tout le temps que je déversais mon jus dans la bouche de notre amante, Nadir et Bachir continuaient de pilonner Kamila en poussant des rugissements furieux, qui annonçaient une jouissance très proche. Mais avant eux, c’était Kamila qui se lâchait et - sa bouche étant maintenant libre - se mettait à hurler qu’elle allait jouir.
- Yemma ra‘hi djaya ! Yemma ketlouni ! Yemma chouffi bentek ! Innikou‘ha thelt erdjal ! Thelt ezboub ! Zboub ahmir! Mlih! Mliiiiiiih! (Maman je vais jouir ! Maman ils m’ont tuée ! Maman regarde ta fille ! Elle se fait tirer par trois hommes ! Trois zobs ! Des zobs d’ânes ! C’est bon ! Booooon !)
Et elle déchargeait bruyamment, en accompagnant ses paroles d’un puissant râle rauque et sonore.
Bachir et Nadir continuaient un moment leur pilonnage et, invariablement, les deux éjaculaient en même temps en hurlant comme des bêtes blessées. Et puis le silence revenait : Kamila effondrée sur le large poitrail de Nadir (rendu visqueux par le mélange de salive et de morve qu’elle y avait déversé tantôt), entrainant Bachir qui reprenait son souffle sur le dos de sa femme. Et moi, je m’asseyais sur le bord du canapé (ou du lit) attendant que tout ce beau monde reprenne conscience.
Tout le temps que Nadir était avec nous, cela se passait ainsi. Son départ créa en nous – y compris en moi qui, au début, avait été très jaloux de l’amour que lui portait Kamila – un véritable vide, que nous n’avions pas su remplir totalement Bachir et moi. Il manquait un troisième partenaire pour assouvir pleinement l’appétit sexuel démesuré de notre femme. Elle ne nous montra jamais qu’il manquait un troisième homme pour la combler. Elle continuait à s’offrir à moi et à Bachir avec autant de plaisir qu’avant, mais nous savions que tous nos efforts pour lui donner un maximum de plaisir étaient vains. Elle jouissait, c’était évident. Mais petitement, par rapport à ce que nous lui avions fait vivre à trois, avec Nadir.
Moins d’un mois après le départ de notre compagnon, Kamila débarqua un soir à la maison accompagné d’une espèce de géant noir. Ce fut à ce moment là que Youssouf entra dans notre vie et s’y installa pour longtemps.
…/…
Youssouf avait l’apparence d’une grande brute couleur d’ébène, à la force démesurée. Dès que je l’avais aperçu, je m’étais dit que ce garçon avait dû pratiquer intensément la lutte. Mais pas la lutte gréco-romaine ; la lutte traditionnelle africaine. Il était aussi grand que massif. Une tête ronde, complètement rasée, posée sur un cou de taureau. Des épaules larges et rondes sur lesquelles étaient attachés deux bras longs et puissants, se terminant par d’immenses paluches. Il avait un peu d’embonpoint, qui ajoutait une dose à l’apparence de forte puissance qui se dégageait de lui. Il avait des hanches étroites portées par deux immenses jambes longues et musculeuses. Et des pieds tellement grands que je me demandais où il pouvait bien trouver ses chaussures.
Son visage avait tous les traits traditionnels des africains de la zone sahélienne : nez épaté, mais pas trop ; bouche immense entourée de lèvres charnues ; des yeux noirs et brillants; et une puissante dentition d’une blancheur qui détonnait avec le noir d’ébène de sa peau. Et il souriait constamment !
La jalousie qui m’avait, un temps, habitée à l’arrivée de Nadir, s’était tout de suite remise de la partie. Je me disais qu’avec un tel garçon – il semblait avoir entre vingt-trois et vingt-quatre ans – mes chances de continuer de plaire à Kamila et de garder ma place auprès d’elle, étaient devenues infimes. Je me disais que toute cette puissance qui se dégageait de son physique, devait faire de lui une vraie bête sexuelle. Il devait certainement avoir un sexe monumental, plus grand et plus gros que le mien et même que celui, lui-même immense, de Nadir. Et puis tous les préjugés qui courraient sur les capacités sexuelles exceptionnelles des africains venaient s’entrechoquer dans ma tête.
- Je vous présente Youssouf ! Bachir, mon mari ! Rafik, son ami et mon amant !
Après avoir fait les présentations de manière aussi laconique, Kamila nous parla un peu de lui.
- Youssouf est un étudiant malien qui est entrain de terminer des études d’ingéniorat en chimie. Il est actuellement, et pour trois mois, en période de stage pratique chez nous dans la société. Il est superbe, n’est-ce pas ? J’ai tout de suite flashé sur lui. Je le lui ai dit et il a accepté de devenir mon amant.
Aussi simple que cela ! Toujours la manière directe d’agir de Kamila. Youssouf, un peu intimidé, écoutait ce qu’elle disait. J’étais sûr que s’il n’était pas aussi noir, on aurait vu qu’il rougissait, tellement il semblait intimidé. Il ne disait rien et laisser la femme parler.
- Il m’a avoué qu’il était en manque de femmes. Depuis qu’il est en Algérie, il n’a pratiquement pas baisé. N’est-ce pas Youssouf ? Il est plein ! Je suis pressée d’en profiter ! Et puis, il a un superbe membre ! Il me l’a montré tout à l’heure : c’est le plus magnifique zob que j’ai vu jusque là !
Et sans autre forme de procès, elle prit la main du garçon et l’entraina directement dans la chambre. Notre chambre ! Youssouf la suivit en silence. Nous restâmes, Bachir et moi, comme hypnotisés ; pétrifié par la manière dont les choses s’étaient déroulées. Bachir se reprit plus rapidement que moi : un sourire satisfait sur les lèvres, il emboita le pas au couple, qui était déjà dans la chambre entrain de passer aux choses sérieuses. Le connaissant parfaitement, je savais qu’il allait s’installer dans le fauteuil qui faisait face au grand lit, et qu’il allait regarder, les yeux exorbités et la bave à la bouche, le spectacle de sa femme entrain de se faire tirer par le colosse noir. Je lui en voulais à mort ! J’aurais aimé qu’il réagisse et qu’il fasse comprendre à sa femme qu’il n’agréait pas du tout ce qu’elle était entrain de faire. Qu’il ne voulait pas être cocu de cette façon-là. Qui plus est avec un jeune noir naïf et inexpérimenté.
Au fond de moi, je savais que ce n’était que la jalousie qui me faisait penser tout cela. Ma mauvaise foi légendaire qui revenait. Je savais que, contrairement à moi qui sur le moment avait très mal pris la chose, Bachir lui, venait de trouver une nouvelle source de plaisir et de bonheur :
Youssouf était la parfaite image de l’amant qu’il voulait pour sa femme. Le taureau qui allait lui ouvrir d’autres horizons érotiques et qui allait leur procurer - à elle, mais aussi à lui – d’immenses moments de bonheur. Le genre de cornes qui lui convenaient le mieux. Et il savait que ma passion pour Kamila allait bien vite me ramener dans « le droit chemin ».
Moi, j’étais plus circonspect. Pour tout dire, j’étais vraiment mécontent de la manière dont les choses se passaient. Pendant un long moment, j’étais resté debout dans le salon, sans bouger et surtout, en faisant ma gueule des mauvais jours. Je ruminais de sombres pensées, tout en tendant l’oreille pour pouvoir deviner ce qui était entrain de se tramer à l’intérieur de « notre » chambre à coucher. Pendant un long moment, il me semblait qu’il ne se passait rien. Tout était silencieux.
Et puis, j’entendis les roucoulements d’oie (je devenais carrément odieux, dans mon délire de jalousie !) de Kamila qui m’indiquaient clairement qu’elle était entrée dans son monde de plaisir érotique. Je savais que plus rien ne comptait pour elle que ce magnifique éphèbe couleur d’ébène, qui était entrain de l’emmener dans la seule sphère qui comptait pour elle : celle du plaisir sexuel intense.
Et comme en écho au roucoulement de sa femme, j’entendais distinctement la voix de Bachir qui commandait :
- Lahess-el‘ha souwat‘ha ! Echrab aâcel‘ha! Koul hatchoun‘ha! (Lèche-lui la chatte ! Bois son miel ! Bouffe-lui la chatte !) El qahba, et-hab foumek ! Chouf‘ha kifach tezghoud ! (La pute, elle adore ta bouche ! Regarde-la comment elle bouge !)
J’étais certain que Youssouf ne comprenait pas un traitre mot à ce que disait Bachir. Il ne parlait pas l’arabe. Et Bachir le savait parfaitement. Mais cela lui était égal. C’était à lui-même qu’il parlait, comme cela à haute voix. Ses paroles m’étaient aussi adressées. Il savait que j’entendais tout ce qu’il disait et que j’étais parfaitement incapable de résister à mes pulsions, et que je n’allais pas tarder à pénétrer dans la chambre comme un ouragan, pour exiger ma part du gâteau.
Et ce fut bien cela qui arriva. Je m’empressais de rejoindre la chambre et tombais sur le spectacle ahurissant de Kamila allongée sur le dos en travers du lit, la robe relevée en boule sur son ventre et les jambes repliées posées sur le bord du lit. Je ne pouvais pas voir entre ses jambes : l’espace était occupé par le géant noir, à genoux devant le lit, qui avait plongé sa tête entre les cuisses de la belle et lui appliquait un cunnilingus d’enfer. Kamila avait posé ses deux mains sur le crâne rasé du bonhomme et le forçait à aller et venir le long de la fente de sa chatte. Elle gémissait doucement en se parlant à elle-même :
- Sukar ! Hlou ! Mlih ! Koul ! Achrab ! Dekhal elsanek fi saouwti ! En-hab! Kemal ‘hakdha! Grib en-faregh ! En-faregh fi foumek ! Hay djet ! Echrab ! Echrab ! (Du sucre ! C’est doux ! C’est bon ! Bouffe ! Bois ! Fait rentrer ta langue à l’intérieur de ma chatte ! J’adore ! Continue comme cela ! Je vais bientôt décharger ! Je vais décharger dans ta bouche! La voila qui vient ! Bois ! Bois !)
J’assistais à un orgasme exceptionnel de Kamila. Elle ordonnait (en arabe) à son amant de boire tout le jus qu’elle sécrétait, tout en obligeant la tête de Youssouf à monter et descendre de plus en plus vite entre ses cuisses. Ses yeux étaient devenus vitreux ; sa bouche avait un rictus figé, comme si elle était soudainement paralysée. De la salive coulait à flot des commissures de ses lèvres. Sa respiration avait atteint un rythme tellement rapide, qu’elle semblait être sur le point d’. Et tout à coup elle lâcha un hurlement de démente et s’affaissa en relâchant la tête qu’elle tenait entre ses mains et en laissant pendre ses jambes, jusque là relevées et pliées de part et d’autre de sa poitrine. Elle avait maintenant, posé sur ses lèvres, le sourire béat qu’elle avait toujours après une très forte jouissance.
- Radjel ‘hadha chitan ! Nak-ni beffoumou ! Ou dani lesma beffoumou ! Wach iderli bezzebou ! (Cet homme est un Diable ! Il m’a niqué avec sa bouche ! Et il m’a emporté au ciel avec sa bouche ! Qu’est-ce qu’il me fera avec son zob !)
Elle continuait à parler dans sa langue maternelle, tout en sachant que Youssouf ne comprenait rien.
Cela lui importait peu ; elle nous parlait à nous, son mari et moi, pour nous montrer tout son plaisir et toute son attente de la suite. De toutes les façons, le garçon savait pertinemment qu’elle n’exprimait que du bonheur. Il était resté à genoux entre les jambes ouvertes de Kamila et n’arrêtait pas de contempler le spectacle de sa superbe chatte, dégoulinante de mouille et de salive.
- Elle est magnifique ! J’ai encore jamais vu une aussi belle chatte ! Il faut que mon canon s’en occupe !
Youssouf, qui jusque là ne s’était pratiquement pas exprimé, se laissait prendre par le climat bizarre qui régnait dans la chambre. Il prenait confiance et commençait à se laisser aller. Il parlait doucement, en français, avec un accent très prononcé d’africain. Il devait être encore très étonné de se trouver dans une situation aussi exceptionnelle. C’était comme s’il n’y croyait pas trop et qu’il avait peur de se réveiller et de se rendre compte qu’il avait rêvé. Ce fut Kamila qui le sortit de son rêve éveillé et lui disant - en français :
- C’est vrai que c’est un canon que tu as entre les jambes ! Montre-le à ces messieurs ! Ils en prendront de la graine ! Montre-leur ce que c’est qu’un vrai zob d’homme ! Le zob d’un black !
Youssouf que les paroles de la femme avaient ragaillardi, se leva, commença par enlever le tee-shirt qu’il portait pour mettre à nu le torse puissant et sans poils d’un lutteur africain. Il brillait comme s’il avait été ciré. Il était exceptionnellement musclé, avec des muscles pectoraux sculptés dans de l’ébène et un léger embonpoint qui ajoutait de l’intensité à la forte puissance qu’il dégageait. Il nous laissa le temps d’admirer le spectacle puis dégrafa le ceinturon de son pantalon en jean gris, défit le bouton qui le fermait, descendit le zip de sa braguette et abaissa d’un seul coup le pantalon sur ses genoux.
Il portait un boxer gris qui compressait son engin. Il formait une énorme bosse sur le devant. Sans même le voir, on devinait que son « canon » était d’un calibre impressionnant. Kamila, qui avait les yeux qui brillaient de concupiscence, encourageait Youssouf de la voix pour qu’il se débarrasse du boxer et de tous ses habits. Elle lui disait qu’il était fait pour vivre tout nu. Pour exhiber en permanence son canon, pour que toutes les femmes du monde puissent contempler et admirer un vrai zob et le comparer avec ceux de leurs maris et amants.
- Warri-l‘houm zebek ! Warri-l‘houm medfaâ li yenik Kamila! Wari‘hou-li! Aâti‘hou-li en-cheddou! En boussou! (Montre-leur ton zob ! Montre-leur le canon qui va baiser Kamila ! Montre-le-moi ! Donne-le-moi, je vais l’attr ! Je vais l’embrasser !)
Je ne crois pas que Youssouf avait compris le vrai sens des mots que prononçait Kamila, mais il en avait saisi la signification générale. Il obéit donc à notre femme et commença par se débarrasser de son pantalon avant d’enlever son boxer et mettre à nu « le canon de Navarone ». Bachir et moi eûmes sous les yeux un engin aussi impressionnant que le canon qui donna son titre, en 1961, au film de J. Lee Thompson. Je suis convaincu qu’il devait faire au moins quarante centimètres, avec une circonférence vraiment exceptionnelle. J’étais certain que Kamila ne pouvait pas en faire le tour avec une seule main. Et il était beau : lisse, brillant, le gland large, sans trace de poil, ni de vaisseaux sanguins apparents.
- Yed el fass ! (un manche de pioche !) s’écria Kamila, qui pourtant l’avait déjà vu. Djibouh i-nik-ni ! Djibouh ikassar-li saouwti ! Ezrab ! Ma nendjamch nesbar kthar men ‘hakdha ! Djibou ‘hou-li ! Goulou-lou yezrab i-nik-ni ! (Amenez-le pour me baiser ! Amenez-le, il va me défoncer la chatte ! Fais vite ! Je ne peux pas tenir plus que ça ! Amenez-le-moi ! Dites-lui de se presser pour me tirer !)
Bien entendu nous n’eûmes pas le temps de dire ou de faire quoi que ce soit. Youssouf était subjugué par la merveilleuse chatte qu’il avait sous les yeux. Il bandait tellement qu’on voyait sa superbe queue frémir d’impatience. Il ne pouvait plus tenir. Oubliant totalement notre présence – à Bachir et à moi – il se plaça entre les jambes de Kamila, lui prit les chevilles pour lui faire lever les jambes, les posa sur ses épaules de lutteur, prit son canon d’une main pour positionner le gland entre les grandes lèvres de la femme et, sans précaution aucune, enfonça son manche jusqu’au fond du vagin. Kamila poussa un énorme cri de douleur. Il lui avait fait très mal. Il me sembla qu’elle avait crié encore plus fort que le jour où je l’avais dépucelée par derrière.
Youssouf ne tint aucun compte de la douleur qu’il venait de provoquer. Il était resté debout au bord du lit et tenait la femme par la taille. Il s’allongea en partie sur elle, tout en gardant ses pieds par terre et lui faisait lever au maximum ses jambes, toujours posées sur ses épaules, et se mit à lui pilonner la chatte avec fureur. Il était farouchement accroché à elle et faisait aller et venir violemment ses hanches, pour faire pénétrer le monstre au plus profond du vagin de Kamila. Il soufflait comme un phoque et à chaque pénétration, il poussait un énorme rugissement de satisfaction. Plus rien ne comptait pour lui que les sensations de plaisir et de bonheur qu’il ressentait dans le nid de la femme. Il ne disait rien. Il se contentait de rugir et de s’accrocher aux épaules de Kamila pour qu’elle reste dans la même position.
Kamila avait cessé de crier de douleur. Je voyais qu’il lui faisait toujours aussi mal. Mais je devinais, à son air ravi, que maintenant elle ne ressentait plus que du plaisir. Le plaisir que lui donnait un immense zob qui l’entreprenait sans précaution et qui lui procurait une merveilleuse sensation de bien-être. Elle sentait son tunnel parfaitement rempli par le monstre qui la limait sans ménagement et qui frottait tellement fort la paroi du vagin qu’on aurait dit un tison incandescent. Et Kamila, notre superbe femme, se laissa aller à soliloquer, comme elle adorait le faire en ces merveilleux moments de plaisir. Elle s’adressait surtout à son mari – et un peu à moi au passage – en le traitant de cocu magnifique.
- Bachir ya tehan, chouf martek i-nik‘ha kahlouch! Kahlouch li zed-lek zoudj groun okhrin! Goul-li blik t’heb martek ki yenik‘ha kahlouch kima ‘hadha! Goudamek! Kahlouch li aândou medfaâ fi placet zeb! Goul! (Bachir, espèce de cocu, regarde ta femme se faire tirer par un black ! Un black qui t’a ajouté deux autres cornes ! Dis-moi que tu aimes que ta femme se fasse tirer par un black comme celui-là ! Devant toi ! Un black qui a un canon à la place d’un zob ! Dis !)
Tout en hurlant toutes ces insanités en direction de son mari – qui souriait béatement, tout en se branlant énergiquement – Kamila s’accrochait à son amant, comme si elle avait peur qu’il s’en aille et qu’il la laisse sur sa faim. J’avais remarqué qu’elle avait planté ses ongles dans les épaules de Youssouf et qu’un léger filet de sang s’était mis à suinter. L’homme, lui, ne disait toujours rien.
Il continuait à pilonner sa maîtresse, tout en soufflant comme un phoque et en rugissant à chacun de ses coups de boutoir. Il accéléra soudain le mouvement de ses hanches, montrant par là qu’il n’allait pas tarder à déverser son foutre dans le tunnel de la femme.
Kamila sentit que Youssouf n’allait pas tarder à jouir. Elle l’avait compris à sa respiration qui devenait de plus en plus courte et à l’accélération subite de ses coups de reins. Elle-même était dans le même état. Tout en voulant faire durer plus longtemps le plaisir, elle sentait un très fort orgasme se préparer, qui n’allait pas tarder à débouler en elle comme un torrent en furie. Elle n’opposa plus aucune résistance. Elle se remit à hurler des bouts de phrases, toujours en arabe, pour accroitre l’intensité de son plaisir.
- Faragh ! Faragh fiya ! Aâmar-ni bezzal ! Hata ana, ma nebtach en-faragh ! Rani en-hass rahi djaya! Rahi djaya! Rahi…… ! (Ejacule ! Ejacule en moi ! Remplis-moi de sperme ! Même moi, je sens que je vais jouir ! Je vais jouir ! je vais… !)
Ce fut elle qui déchargea la première en poussant un long hurlement de louve rassasiée. Elle continuait de s’accrocher à son amant et à lui planter encore plus profondément ses ongles dans les épaules. Youssouf, qui ne semblait absolument pas incommodé par ces ongles plantés dans son dos, accéléra encore plus le rythme de ses va-et-vient dans le vagin de sa maîtresse. Puis subitement, il se crispa et sembla se figer une fraction de seconde tout au fond du tunnel, avant de pousser un ultime rugissement de plaisir et d’éjaculer en une giclée continue, une quantité impressionnante de foutre brulant, que Kamila sentit ressortir de sa chatte, comme pompée vers l’extérieur par l’immense piston du black, qui continuait imperturbablement ses va-et-vient dans son vagin.
Et puis tout s’arrêta. Youssouf s’affala sur sa maîtresse en gardant son immense queue – encore vigoureuse – à l’intérieur de la chatte et en maintenant les jambes de Kamila toujours posées sur ses épaules. Ils restèrent ainsi quelques minutes avant que l’homme, subitement conscient de l’énorme fatigue de sa partenaire, ne sortit son engin du nid douillet dans lequel il était et permit ainsi à la femme de reposer ses jambes ankylosées. Elle avait les yeux qui brillaient de bonheur. Elle jeta un regard reconnaissant à son mari et lui envoya son sourire lumineux. Plus que n’importe quelle phrase, ce sourire disait tout l’amour qu’elle portait à ce mari qui lui permettait de vivre, avec d’autres hommes, de tels moments de plaisir.
- En-habek ! Goul-li blik en-ta thani et-habni ! Et-hab martek ki et-welli qahba ! Ki taâti le-rdjal ! (Je t’aime ! Dis-moi que toi aussi tu m’aimes ! Que tu aimes quand ta femme devient pute ! Quand elle s’offre aux hommes !)
- En-mout aâlik ! (Je t’adore !)
Ce fut ainsi que commença notre nouvelle vie à quatre. Il faut bien reconnaitre que de tout le groupe, j’étais celui qui était le plus malheureux. Enfin, malheureux est un trop grand mot. Parce que même si j’étais resté très jaloux de Youssouf, Kamila continuait à m’offrir du plaisir et du bonheur. Et surtout, elle disait qu’elle ne pourrait jamais se passer de moi. Comme de son mari !
…/…

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